La puissance publique devrait toujours avoir la capacité, le pouvoir, et donc le dernier mot, pour rééquilibrer les systèmes économique et monétaire au profit de l’intérêt général et garantir ainsi la satisfaction des besoins de toutes et tous.
La dette publique n’est qu’un déséquilibre de ces systèmes, qui signifie que les enjeux et capitaux privés ont été indûment privilégiés au détriment des biens communs.
Tout le monde, toutes les mères et les pères devraient être d’accord avec cela, afin de restaurer et maintenir, pour leurs enfants et les générations futures, l’équilibre des éco-systèmes au profit du bien-être et de la dignité.
C’est tout l’enjeu de la politique : rééquilibrer le contrat social et nos systèmes d’échange tout en veillant à ne léser et à ne blesser personne, ni aucun être vivant.
Il faut lutter contre l’idée que « les choses sont comme elles sont ». L’économie libérale capitaliste n’est pas une fatalité. Et cela doit être enseigné !
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